La casquette
C’est la première génération de notre casquette. Pour la développer, on s’est appuyé sur près de 1000 réponses à notre questionnaire et sur l’expertise de l’atelier avec lequel on travaille.
A première vue, c’est une casquette ultra-classique en coton, type “baseball”. Bon, à deuxième vue aussi (ça se dit ?) : c’est vrai qu’on n’a pas fait de folies côté forme. Mais il y a quand même des choses qui changent par rapport à la plupart des casquettes du marché : celle-ci est bien solide (tissu dense, intérieur doublé, fermoir métallique en une pièce) et bien produite (coton bio et made in Portugal). Strike !
Détails techniques
- Tissu 100% coton bio certifié GOTS
- Casquette à 6 panneaux, avec renfort sur les deux de devant, pour une bonne tenue
- Oeillets brodés ton sur ton
- Matière dense : environ 380 g/m2 pour une bonne résistance à la déformation et une meilleure tenue dans le temps
- Tissu teint et lavé, pour ne pas rétrécir au contact de l’eau
- Doublure en coton noir, pour que les taches ne se voient pas.
- Ruban de propreté sur le tour de tête pour plus de confort
- Fermoir solide en métal
- Ganse pour que la lanière ne dépasse pas
- Forme baseball classique avec une visière légèrement plus longue (7,5 cm)
- Logo Loom discret, brodé sur l’arrière
- Tissu certifié Oeko-tex sans substances nocives pour la santé
Pays de fabrication
Pour ne pas vous noyer sous les informations, on ne met ici que les usines des 5 principales étapes de fabrication d'un vêtement : matières premières, filature, tissage/tricotage, teinture/finissage, confection.
- Teinture, et confection : Portugal
- Filature, tissage : recherche en cours
- Coton : recherche en cours
Pourquoi fabriquer au Portugal et pas en France ?
Il faut savoir que c’est assez compliqué de fabriquer une casquette au Portugal : la plupart des usines sont en Chine. C’est encore plus compliqué à faire en France : dans les années 80 quand la France a délocalisé son industrie, le Portugal a renforcé la sienne. Il n'empêche que d’autres que nous arrivent à faire des casquettes 100% made in France, comme Ango.
Comment ce produit va vieillir
Comment on le sait ? On demande à nos clients et clientes leur avis sur le produit un an après l'achat. Et si le produit a moins d'un an, on vous donne nos prédictions grâce à certains retours spontanés et à notre expérience sur des produits similaires.
Comme pour toutes les casquettes en 100% coton, les couleurs vont perdre en intensité avec les lavages et l’exposition au soleil.
01.
La tête dans 6 panneaux
On a choisi une forme à 6 panneaux, avec un bonnet assez profond pour qu’il aille à toutes les têtes, et une visière très légèrement plus longue que la moyenne, pour une question de de proportion (et de protection). Un parti pris sans risque en somme - c’est la forme qui convient à toutes les formes de visage.
02.
Les petits détails font la qualité
Le tissu est assez dense pour ne pas déformer, les panneaux de devant sont doublés pour que la forme se tienne, le fermoir est composé d’une seule pièce de métal pour limiter les risques de casse et il y a même une ganse pour que le bout de la lanière ne pende pas.
03.
Ça se lave ?
C’est le grand drame des casquettes : impossible de les passer en machine sans risquer de déformer la visière. En cas de salissure, il faut les laver à la main. Mais on a anticipé cela : le tissu est stabilisé pour supporter un bain chaud, l’intérieur est doublé d’une toile de coton légère - et noire, pour pas que les marques de transpirations et autres taches se voient. Et on a choisi des couleurs belles (bien sûr) mais surtout, pas salissantes.
04.
Bio ET Local
Du coton bio parce que ça protège la biodiversité dans les champs et qu’on aime les insectes (SAUF LES MOUSTIQUES). Et du local, parce que c’est important de garder des savoir-faire en Europe et d’assurer de bonnes conditions de travail aux personnes qui fabriquent nos vêtements : la plupart des casquettes viennent d’Asie, la nôtre est tissée, teinte, confectionnée et brodée au Portugal.
